
Ferracini Velia
Née en 1996 à Sion, Velia Ferracini est assistante-diplômée à l’Université de Fribourg. Elle écrit pour la presse romande (Décadrée, Quatrième Mur, etc.) et est membre active de la Société des écrivain·e·s valaisan·ne·s. Elle a publié aux éditions des Fleurs un recueil de poésie illustré par Archibald Gibut-Monzon, ouvrage qui a été récompensé du prix de poésie de l’Académie romande en 2023. En 2022, elle a reçu une bourse-mentorat de l’État du Valais qui lui a permis de travailler avec Pierre-André Milhit sur un premier roman intitulé Lave mes cendres, paru en février 2025 aux éditions Encre Fraîche.
Photo ©Mathilde Rietsch
Dédicaces des auteur·rice·s — Samedi 4 octobre 2025
Iuna Allioux - Carmen Arévalo - Marie Beer - Gabriel Bender - Magali Bossi - Laurence Burger - Stéphanie Chaillou - Mélanie Chappuis - Zelda Chauvet - Guy Chevalley - Florence Cochet - Nathalie Cohen - Laure Mi Hyun Croset - Maeva Dubois - Velia Ferracini - Vincent Gerber - Olivia Gerig - Stéphanie Glassey - Marie-Christine Horn - Raphaël Laforgue - Olivier May - Juliette Nothomb - Yves Paudex - Jeanne Perrin - Michaël Perruchoud - Fabrice Pittet - Christine Pompéï - Alexandre Regad - Béatrice Riand - Emmanuelle Robert - Maxime Rutschmann - Chirine Sheybani - Lionel Tardy - Jean-François Thomas - Lolvé Tillmanns - Lucien Vuille - Ed Wige - Rafael Wolf // Les auteur·rice·s sont présent·e·s toute la journée de 10h à 17h pour dédicacer leurs ouvrages (sauf pendant les tables rondes auxquelles ils·elles participent ainsi que pour des pauses).
Vernissage de l'anthologie "Teufelsweg"
Présentation surprise et lecture musicale d'une anthologie fantastique écrite par 17 plumes.
Écrire les traumatismes : nouveau genre littéraire ?
Les romans et essais sur le thème des traumatismes ont le vent en poupe. Constituent-ils un nouveau genre littéraire ou se déclinent-ils mieux au sein d’autres genres tels le roman noir, la prose poétique ou la littérature militante ? Le lectorat continuera-t-il à se nourrir de tels récits mettant en évidence l’âpreté du réel ou se tournera-t-il davantage vers l’imaginaire ?
